Le Docteur Hervé de Labareyre a récemment publié un article relatant sa propre expérience du traitement des lésions tendino-musculaires par ondes de choc radiales.
Après 11 ans d’utilisation, il nous livre ses résultats sur 1800 patients ayant bénéficié de cette technique avec un protocole suffisamment rigoureux pour donner lieu à une étude épidémiologique (maximum de 6 séances de traitement, évaluation des résultats par les patients au moins 6 semaines après la dernière séance).
Les résultats s’avèrent satisfaisants pour le traitement de la tendinopathie (75%) et de l’entésopathie (65%) calcanéennes, de l’aponévrosite plantaire (68%), de l’entésopathie proximale des ischio-jambiers (76%), de la tendinopathie patellaire (63%) ainsi que pour les tendinopathies de la coiffe des rotateurs (70%).
Par contre, les épicondylites médiales (54%) et latérales (59%) répondent moins bien à ce type de traitement.
A noter également de bons résultats (80%) sur les séquelles douloureuses des déchirures musculaires, à confirmer sur un échantillonnage plus important que les 30 patients de cette série.
Pour en savoir plus :
Que penser des ondes de choc dans le traitement des lésions tendinomusculaires en 2011 ?
H. de Labareyre
Journal de Traumatologie du Sport
Volume 28, numéro 1
Pages 1—23 (mars 2011)
Après 11 ans d’utilisation, il nous livre ses résultats sur 1800 patients ayant bénéficié de cette technique avec un protocole suffisamment rigoureux pour donner lieu à une étude épidémiologique (maximum de 6 séances de traitement, évaluation des résultats par les patients au moins 6 semaines après la dernière séance).
Les résultats s’avèrent satisfaisants pour le traitement de la tendinopathie (75%) et de l’entésopathie (65%) calcanéennes, de l’aponévrosite plantaire (68%), de l’entésopathie proximale des ischio-jambiers (76%), de la tendinopathie patellaire (63%) ainsi que pour les tendinopathies de la coiffe des rotateurs (70%).
Par contre, les épicondylites médiales (54%) et latérales (59%) répondent moins bien à ce type de traitement.
A noter également de bons résultats (80%) sur les séquelles douloureuses des déchirures musculaires, à confirmer sur un échantillonnage plus important que les 30 patients de cette série.
Pour en savoir plus :
Que penser des ondes de choc dans le traitement des lésions tendinomusculaires en 2011 ?
H. de Labareyre
Journal de Traumatologie du Sport
Volume 28, numéro 1
Pages 1—23 (mars 2011)